long-overdue validation of the experiences of women of colour and an urgent call-to-arms in the need for true intersectionality. A must-read for anyone shocked by the statistic that fifty-two per cent of white women voted for Trump, this compelling and meticulously researched book explores how the division between the innocent white women and the racialised, sexualised woman of colour was created, and demonstrates exactly why these stereotypes are crucial to confront and deconstruct. Je me suis intéressée à White Tears, Brown Scars, parce que je crois au féminisme intersectionnel et que je pense qu'on ne peut pas être féministe si on n'inclut pas les problématiques spécifiques de groupes de femmes qui font face à d'autres marginalisations que leur seul genre (racisme, transphobie, validisme, ...). Même si les femmes blanches, dont je fais partie, sont marginalisées, nous avons quand même l'avantage que nous procure le fait d'être blanches et je trouve important de le reconnaitre et de s'éduquer sur le sujet.
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Petite confession: j'ai reçu un ARC numérique de Mooncakes l'été dernier. Vu mon retard pour le lire, je m'étais promis que j'écrirais un post quand même, dès que je me serais acheté un exemplaire en guise de soutien, et après quasi un an de rupture de stock, j'ai enfin, ENFIN, pu me le procurer. Et comme il correspondait parfaitement pour un challenge de lecture auquel je participe, je l'ai lu dans la foulée.
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Prochains articles:
White Smoke, de Tiffany D. Jackson.
Nos Jours Brûlés, de Laura Nsafou, en lecture commune avec:
Cadeau Muhayimana Moune La Booktillaise pour le Café Lithéraire Oddball, de Sarah Andersen.
Exemplaire numérique envoyé par Andrews McMeel Publishing (merci à eux!) Catégories
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