Voilà un synopsis bien intriguant. Déjà que j'avais repéré la couverture canon, j'ai gardé l’œil ouvert jusqu'à ce que je finisse par mettre la mains sur un exemplaire d'occasion et que je me sente d'humeur à l'attaquer.
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Quelques mois après la sortie de Ma Sœur, Serial Killeuse, j'ai cédé à la hype. On en parlait beaucoup et ça a fini par me rendre curieuse. Puis je l'ai oublié dans ma PAL jusqu'à ce que Karifuna mentionne qu'elle avait besoin de parler de la fin avec quelqu'un. Donc je l'ai exhumé de ma PAL et j'ai promis de le lire pour pouvoir en discuter avec elle. Et boy I have some thoughts.
Je ne saurais pas dire pourquoi, mais ce synopsis m'a convaincue qu'il me FALLAIT ce bouquin. Du coup, il a rejoint ma wishlist illico et j'ai eu la délicieuse surprise de le trouver sous le sapin cette année, offert par une amie. Trop sympa, vraiment. Cœurs sur elle. Et j'ai à peine pris le temps de terminer mon livre précédent avant de sauter dedans à pieds joints.
Je surveillais rapidement les sorties chez Hachette parce que je savais qu'ils rééditaient Tyler Johnson was here en poche, avec la couverture de la V.O. J'ai donc vu passer La Rue qui nous Sépare parmi les nouveautés de Janvier. L'histoire semblait touchante et je venais de terminer mon dernier livre, donc il a suffi que La Booktillaise me pousse légèrement aux fesses et j'ai été curieuse.
Merci donc à Hachette d'avoir validé ma demande sur NetGalley et de m'avoir envoyé un exemplaire numérique en échange de cette chronique.
long-overdue validation of the experiences of women of colour and an urgent call-to-arms in the need for true intersectionality. A must-read for anyone shocked by the statistic that fifty-two per cent of white women voted for Trump, this compelling and meticulously researched book explores how the division between the innocent white women and the racialised, sexualised woman of colour was created, and demonstrates exactly why these stereotypes are crucial to confront and deconstruct. Je me suis intéressée à White Tears, Brown Scars, parce que je crois au féminisme intersectionnel et que je pense qu'on ne peut pas être féministe si on n'inclut pas les problématiques spécifiques de groupes de femmes qui font face à d'autres marginalisations que leur seul genre (racisme, transphobie, validisme, ...). Même si les femmes blanches, dont je fais partie, sont marginalisées, nous avons quand même l'avantage que nous procure le fait d'être blanches et je trouve important de le reconnaitre et de s'éduquer sur le sujet.
of her cousin’s new husband, who is both menacing and alluring; not of his father, the ancient patriarch who seems to be fascinated by Noemí; and not even of the house itself, which begins to invade Noemi’s dreams with visions of blood and doom. Mexican Gothic me faisait de l’œil depuis un moment. En plus d'un résumé intrigant et d'une couverture sublime, il semblait être le roman parfait pour Octobre, donc j'ai fini par craquer. #SorryNotSorry.
Je garde un très bon souvenir de la BD Le Chat du Rabbin, donc quand je suis tombée sur une photo de ce roman sur Instagram et reconnu le nom de l'auteur, ma curiosité a été piquée. Une chose en entrainant une autre, j'ai commandé un exemplaire (vu que celui de ma bibliothèque était sorti).
J'ai mis du temps, malgré les nombreuses critiques élogieuses, à me laisser tenter par ce roman. Finalement, j'ai décidé de lui laisser une chance de m'impressionner et comme il était en haut de la pile quand je me demandais quoi lire, je me suis enfin fait mon avis.
J'attends Ninth House quasiment depuis son annonce, et je l'ai précommandé plus de six mois avant sa sortie. Bardugo avait annoncé un roman sombre, des fantômes, du sang, des sociétés secrètes à l'université et sans blague, vous avez vu cette couverture? Je n'ai même pas essayé de résister, il me le fallait. Et j'ai presque compté les jours en attendant de pouvoir le lire.
En gros, c'est vendu comme une enquête à la Scooby Doo bien sombre, avec de vrais monstres dignes de Lovecraft. En grande fan de Scooby Doo, forcément, ça a piqué mon intérêt, même si je n'ai toujours pas lu Lovecraft (je sais, ça manque à ma culture), et j'avais hâte de lire ce que cette revisite allait donner.
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Prochains articles:
White Smoke, de Tiffany D. Jackson.
Nos Jours Brûlés, de Laura Nsafou, en lecture commune avec:
Cadeau Muhayimana Moune La Booktillaise pour le Café Lithéraire Oddball, de Sarah Andersen.
Exemplaire numérique envoyé par Andrews McMeel Publishing (merci à eux!) Catégories
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Décembre 2022
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